Psi’Coq par Psico

Photo de l'oeuvre de street Art "Psi'coq" de Psico

« PSI’COQ »

Psico
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Photo de l'oeuvre de street Art "Psi'coq" de Psico

Quelques mots sur l’œuvre

« Le spectateur qui a les bonnes clés saura traduire, comprendre et apprécier les clins d’œil et les allusions. Pour les plus néophytes je leur laisse juste l’occasion de voir le monde à l’aide d’une palette de couleur différente. »

« L’essentiel de mon travail fait écho au graphisme, avec très peu de place pour l’aléatoire. Il est vrai que la couleur joue un rôle des plus important dans mon travail. Etant atteint de daltonisme ce n’est pas tant l’utilisation des couleurs elles mêmes qui est primordiale, mais le contraste et les complémentarités entre celles-ci. Ainsi les idées reçues d’associations maladroites se voient balayées par un résultat plutôt sympa et inattendu qui fonctionne. Le fait aussi que je travaille avec le même matériaux depuis des années, les feutres de la marque Posca© (feutres à la peinture à l’eau), me pousse à rester dans ce rendu de saturation, de couleurs vives et fluo.

Le plus important dans la création, c’est de se faire plaisir, de se lâcher, de tester de nouveaux matériaux, de nouveaux styles. J’aime prendre mon temps et m’acharner sur les petits détails en essayant au maximum de bannir règles, mesures et autres compas afin que mon œil et ma main soient de plus en plus aptes à appréhender les distances, la symétrie et les défauts de proportions.

Quelques mots sur l’artiste

Né en 1985 à Montpellier, Psico est fils d’un professeur de piano et petit-fils d’un peintre aquarelliste. Il a ainsi toujours été bercé dans une ambiance artistique. Après un bac Littéraire option histoire de l’art et musique, il fait un séjour en fac de lettre en arts plastiques.

Quelques années plus tard, à 24 ans, Psico décide de passer un BTS en communication visuelle option édition et publicité pour s’ouvrir à l’univers et aux divers outils du graphisme.

Symbolisme, code du tatouage, mythologie, il travaille toujours à partir de ces thématiques.

Ses sources d’inspirations et ses influences
« Je ne m’inspire de rien en particuliers mais plutôt d’un savant mélange de tout.
J’ai quand même été fortement influencé par l’univers du tatouage et sa sémiologie, le style expressionniste allemand très cru et imagé de Max Beckmann, l’art primitif africain et ses masques de divinités ou encore le graffiti contemporain avec des artistes comme Mr. Wany, Monsieur Qui, Gutter … Je suis aussi très intéressé par les croyances, déesses et divinités de toutes origines et époques confondues ».